Le féminisme, comme on le connaît de nos jours, est vue comme un mouvement pour la libération des femmes dans la société. Un mouvement qui demande que les femmes puissent accéder à des droits que les hommes ont. Mais le parcours est devenu de plus en plus long et les choses semblent aller lentement. Depuis le 20ème siècle, les féministes se sont séparés dans leurs pensées. Mais elles restent unies dans leurs actions, telles que les manifestations. Nous allons explorer quelques-unes de ces pensées féministes. Ces pensées font de la confusion au mot "féminisme", qui du coup perd de son sens propre (défense).
Un féminisme "libérale"
Nous retraçons les différents mouvements grâce à un livre de la B.U que j'ai emprunté. Ce livre s'appelle "Pour la fin du sexisme",
écrit par Angélique Gerard en 2019 (Ed.Eyrolles). Dans ce livre, on retrace l'histoire du féminisme comme on en apprend sur l'auteur elle-même, de ce qu'elle en pense.
Mais surtout, Angélique aborde un argumentaire qui cherche à convaincre le lecteur à "penser femme". Car les hommes sont encore dans une pensée de "faux féminisme" pour la majorité. Et cela constitue un frein majeur dans les droits des femmes (inégalité).
C'est donc pour cela qu'un féminisme dit libéral existe. Ces femmes étaient en masse dans la rue pour la loi sur l'avortement de Simone Veil (1975, politique). Et donc, pourquoi elles étaient là ? Parce que ces femmes étaient convaincues en une image. L'image d'une femme libérée de son côté maternel, qui donne à la vie. La femme a été longtemps vu comme un
être procréateur et peu pour ce qu'elle est au fond. Le harcèlement sexuel de nos jours est vu comme un moyen d'avertir mal sainement une femme qu'un homme veut procréer avec elle. Du coup, cette forme de féminisme est l'une des plus médiatisés en France.
Un féminisme "radical"
Dix plus tôt que le courant libéral, le féminisme radical se veut solution pour un problème plus grand. On sait tous que les femmes sont sujettes au harcèlement sexuel au travail. Mais on ne fait pas tous attention à la hiérarchie. Car ce courant pense que par la position qu’occupent les hommes, les femmes sont inférieures. Angélique Gerard dit même dans son livre :
"[...] pour désigner le système par lequel les hommes dominent les femmes à travers une division sexuelle du travail - les hommes à la production rémunérée, les femmes à la reproduction, non rémunérée".
Cette hiérarchie d'entreprise serait donc égale à celle d’une vie domestique selon eux. À cela s'ajoutent, un "féminisme lesbien" et un "féminisme d'égalité", deux autres branches de ce mouvement.
Un féminisme "égalitariste"
Mais les divisions auront permis des unions par la suite. Cette pensée, native en 1900, a su donner la force nécessaire aux autres courants d'agir.
Le plan d'action de ce courant de remédier à l'égalité hommes/femmes de manière très générale (salaire). Ce féminisme peut agir sur des domaines comme le syndicalisme, la littérature, l'histoire, la science ou la place dans l'espace public. Tout cela dans le seul but d'améliorer les conditions de vie des femmes et revoir leur place traditionnelle.
L’avantage de ce courant, est qu'il conserve un ton d'actualité majeur sans pour autant perdre d'adhérent. On commence même à soulever des questions plus taboues sur l'identité et orientation sexuelle.
Les transgenres et les lesbiennes sont ainsi mieux défendues qu'avant. C'est alors qu'on parle de féminisme postmoderne, qui touche aux questions sur les femmes les plus récentes.
Maintenant, vous en savez davantage sur le féminisme et comment cela a fonctionné depuis ces dernières années. N'hésitez pas à me contacter pour un éventuel problème ou me soumettre un avis. Merci de votre lecture.